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Compagnie Blanca Li - Didon & Énée

Compagnie Blanca Li - Didon & Énée

mardi 31 mars 2026 - 20h30
+ d’événements ce jour-là
10€ / 15€ / 37€ / 43€
Réservez vos places !

La parole à l'organisateur

CRÉATION :JUIN 2024 À L’OPÉRA DE DIJON

CE SPECTACLE CONTIENT DES SCÈNES DE NUDITÉ

À PARTIR DE 10 ANS

MISE EN SCÈNE ET CHORÉGRAPHIE : BLANCA LI ASSISTÉE DE GLYSLEIN LEFEVER ET DÉBORAH TORRES GARGUILO
MUSIQUES : HENRY PURCELL, JOUÉ PAR LES ARTS FLORISSANTS - WILLIAM CHRISTIE
SCÉNOGRAPHIE : BLANCA LI ASSISTÉE DE NINA COULAIS
LUMIÈRES : PASCAL LAAJILI
COSTUMES : LAURENT MERCIER
AVEC : MARTINA CONSOLI, ALIZÉE DUVERNOIS, COLINE FAYOLLE, MEGGIE ISABET, MAEVA LASSERE, JULIEN MARIE-ANNE, QUENTIN PICOT, GAËL ROUGEGREZ, GAÉTAN VERMEULEN, VICTOR VIRNOT

De l’histoire tragique de « Didon et Énée » et du chef- d’œuvre qu’elle a inspiré au compositeur Henry Purcell, Blanca Li tire une interprétation chorégraphique et plastique d’une fascinante beauté. Une fable à la fois intemporelle et contemporaine, portée par dix danseurs, où le clair-obscur renforce le climat de magie et d’intimité.


L’amour entre Didon, reine de Carthage, et Énée, futur fondateur de Rome, reste l’un des passages les plus émouvants de « L’Énéide » de Virgile. Sur la version enregistrée par Les Arts Florissants, Blanca Li livre de cet opéra l’une des plus hautes expressions du tragique de la passion amoureuse. L’interprétation en souligne la force intemporelle. De l’amour malheureux entre Didon et Énée, du suicide de Didon, alimenté par la renommée (la « fama »), qui communique immédiatement au peuple et aux dieux la nouvelle de leurs amours impossibles – comme aujourd’hui les réseaux sociaux propagent aveuglément la moindre rumeur –, Blanca Li crée une fable visuelle d’une palpitante fantaisie.


« La mise en scène est pleine de fantaisie et de liberté, jouant avec les aspects comiques et tragiques du scénario. La chorégraphie est pleine d’idées, d’images, d’audace et de couleurs, renforcée par la puissance de la lumière de Pascal Laajili, qui se détache magnifiquement sur la scène inondée d’eau évoquant la mer. » LE JOURNAL D’EXTREMADURE