Papier Tigre

mardi 17 mai 2016 - 19h30
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6€ (Tarif réduit) / 7€ (Adhérents) / 8€ (Prévente) / 11€ (Sur place)
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La parole à l'organisateur

PAPIER TIGRE
« Loin des sentiers balisés, Papier Tigre s’est forgé une réputation scénique à coup de tournées marathons un peu partout dans le monde (Europe, USA, Amérique Latine, Asie) et d’invitations prestigieuses (ATP Festival).
Un son singulier qui se mue depuis dix ans à l’aide de trois albums et plus de 500 concerts, sans oublier les multiples projets parallèles (« La Colonie de Vacances » , « Room 204 », « the patriotic Sunday », « Al Von Stramm, Seilman Bellinsky ») qui donnent encore plus de grain à moudre au trio hyperactif.
Sur le nouvel album « the Screw », PAPIER TIGRE fait le grand écart entre la transe et l’instantané. Les Nantais se jouent des formats et des codes, des genres et des étiquettes et se métamorphosent sur chacun des 9 morceaux en équilibristes parfaits, sur la corde raide, regards droit devant, sourires aux lèvres. »

+ LYSISTRATA
Lysistrata est un power trio instrumental franco-anglais créé début 2013. Depuis ses débuts, le trio mélange les genres liés au Post-Rock en passant par de la Dub dans une dynamique progressive. Leurs influences : And So I Watch You From Afar et Dub Trio.

+ SEAL OF QUALITY
Seal Of Quality, c’est le projet solo de Nicolas Cueille, un homme-groupe, guitare en bandoulière, seul à la tête d’une escouade de Game Boys lui obéissant au doigt et à la manette, et déterminé à en découdre.
Avec une affection particulière pour les sons 8 bits des jeux vidéos de l’enfance, Seal Of Quality assemble les patterns pour écrire des chansons futées en forme d’hymnes du futur. Il manifeste ainsi une propension à être déjà ailleurs – en tout cas pas là où on l’attend. Ni enfermé dans la geôle nostalgique du retrogaming, ni prisonnier d’un écran 2.6 pouces.
Quelque part entre la synthpop de Yellow Magic Orchestra et la musique de Mega- man 2, le metal épique et le rock indé, le résultat est un télescopage sonore dans lequel on trouverait : des murs de guitares, des rythmes cassés et des beats qui crépitent, de belles ondes carrées comme les créneaux d’un château fort, des mélodies impossibles qui restent pourtant dans la tête, des voix de robots sous vocodeur au bord de la crise d’épilepsie.
Sur Affective Design, son nouvel album (mai 2016, chez Kythibong), la voix humaine s’affirme davantage, les Game Boys palpitent et révèlent plus encore d’émotions : il y a un cœur qui bat dans la machine.