Le nouvel album de Jérémie Bossone, Gloires, se plaît à dynamiter les frontières entre genres pour nous offrir un voyage aux couleurs et aux tonalités uniques. Les morceaux y défilent comme autant de paysages.

. Le nouvel album de Jérémie Bossone, Gloires, se plaît à dynamiter les frontières entre genres pour nous offrir un voyage aux couleurs et aux tonalités uniques. Les morceaux y défilent comme autant de paysages.

. Le nouvel album de Jérémie Bossone, Gloires, se plaît à dynamiter les frontières entre genres pour nous offrir un voyage aux couleurs et aux tonalités uniques. Les morceaux y défilent comme autant de paysages.

. Le nouvel album de Jérémie Bossone, Gloires, se plaît à dynamiter les frontières entre genres pour nous offrir un voyage aux couleurs et aux tonalités uniques. Les morceaux y défilent comme autant de paysages.

. Le nouvel album de Jérémie Bossone, Gloires, se plaît à dynamiter les frontières entre genres pour nous offrir un voyage aux couleurs et aux tonalités uniques. Les morceaux y défilent comme autant de paysages.

.
Jérémie Bossone

Jérémie Bossone

mardi 10 février 2015 - 20h30
+ d’événements ce jour-là
L'Entrepôt (Haillan)
5€

La parole à l'organisateur

Le nouvel album de Jérémie Bossone, Gloires, se plaît à dynamiter les frontières entre genres pour nous offrir un voyage aux couleurs et aux tonalités uniques. Les morceaux y défilent comme autant de paysages.



Sun un éventail musical largement déployé vient se poser sa voix, cette voix aux accents si particuliers, reconnaissable entre toutes. Tour à tour écorchée, lyrique ou féminine, celle-ci fait office de fil rouge dans ce voyage sonore. Elle déverse une pluie de mots ciselés et rugissants, d’images limpides qui frappent comme la foudre, touchent au cœur, remue les tripes et l’âme.



Bossone nous le brosse en peintre habile qui aurait troqué ses pinceaux contre une Fender. Le songwriting de Jérémie Bossone est semblable à un shaker où l’on aurait jeté Classicisme et Romantisme. Les amplis s’allument, le shaker s’agite. Classique, le jeune homme l’est par la précision de son écriture, de ses images sur lesquelles flottent les spectres de l’Age d’or de la chanson (Brel, Brassens, Gainsbourg…), mais sa musique, résolument moderne, tourne le dos à ce panorama chansonnier pour embrasser la puissance cathartique du rock dans un tourbillon de décibels romantiques où transparaissent d’autres ombres : celles de Noir Désir, de Jeff Buckley, de Bob Dylan.