La parole à l'organisateur
Milos Unplugged
"On utilise si souvent le mot « world music » à si mauvais escient, alors que c’est avec Milos Unplugged qu’il prend tout son sens le plus profond. World comme une musique qui prend ses racines aux quatre coins de la planète, entre indie rock désertique, rythmes de l’Afrique sauvage et réminiscences folk sud-américaines. Comme sur ce Mississipi Calling qui fleure bon le Delta, un morceau à résonances multiples, extrait du premier CD-R de Milos Unplugged."
Milos Asian Teran, leader du groupe qui porte son nom, est un vrai « Mountain People of the Desert » : venu du Pérou, il débarque à Bordeaux en 1998, guitare à la main. Non content de programmer parmi les meilleurs concerts indie de la ville dans son petit club El Inca, il s’entoure en 2007 de la crème des musiciens bordelais (le collectif Iceberg) pour étoffer son projet musical. Puisant le rythme, les mélodies et la spiritualité des chansons dans ses origines ethniques, il s’inspire de Smog, Akron Family, Sufjan Steven, lors de l’écriture des 10 morceaux qui composent son album. Trompette, mélodica, xylophones, et guitare lap steel, « The Mountain People of the Desert » est doté d’une atmosphère de western sixties crépusculaire à la Rio Bravo : la note est épique et racée. Rouge, sanguine, et capiteuse comme l’aventure.
"On utilise si souvent le mot « world music » à si mauvais escient, alors que c’est avec Milos Unplugged qu’il prend tout son sens le plus profond. World comme une musique qui prend ses racines aux quatre coins de la planète, entre indie rock désertique, rythmes de l’Afrique sauvage et réminiscences folk sud-américaines. Comme sur ce Mississipi Calling qui fleure bon le Delta, un morceau à résonances multiples, extrait du premier CD-R de Milos Unplugged."
Milos Asian Teran, leader du groupe qui porte son nom, est un vrai « Mountain People of the Desert » : venu du Pérou, il débarque à Bordeaux en 1998, guitare à la main. Non content de programmer parmi les meilleurs concerts indie de la ville dans son petit club El Inca, il s’entoure en 2007 de la crème des musiciens bordelais (le collectif Iceberg) pour étoffer son projet musical. Puisant le rythme, les mélodies et la spiritualité des chansons dans ses origines ethniques, il s’inspire de Smog, Akron Family, Sufjan Steven, lors de l’écriture des 10 morceaux qui composent son album. Trompette, mélodica, xylophones, et guitare lap steel, « The Mountain People of the Desert » est doté d’une atmosphère de western sixties crépusculaire à la Rio Bravo : la note est épique et racée. Rouge, sanguine, et capiteuse comme l’aventure.