La parole à l'organisateur
Direction musicale : Sandor RIGO BUFFO
A chacun de leurs passages, les 100 Violons Tziganes de Budapest embrasent littéralement notre salle. Déclenchant l\'enthousiasme par leur virtuosité, leur énergie, leur instinct et leur intelligence, ils laissent derrière eux un souvenir inoubliable.
Ce qui bouleverse le public, c\'est bien entendu le choix de pages musicales enivrantes, gaies ou mélancoliques (Brahms, Strauss, Liszt), mais aussi l\'harmonie même de l\'orchestre, cette entente exceptionnelle, cet accord vibrant qui unit tous les interprètes. Tous virtuoses, ils jouent sans partition et nous éblouissent de cet art de la virevolte, de la variation qui ne trahit en rien la composition mais l’enrichit. Ils transmettent au spectateur l’énergie d’un peuple qui a choisi la musique comme langue universelle.
Instinctif comme une veillée populaire tzigane, rigoureux comme un concert viennois, en smoking noir ou en costume traditionnel, l’Orchestre des 100 Violons Tziganes est superbe à regarder et magique à écouter.
"Un tourbillon fantastique… un ensemble éblouissant… Violons sans frontières… Cent violons sans partition… Cent violons de charme…" LES DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE
Ce qui bouleverse le public, c\'est bien entendu le choix de pages musicales enivrantes, gaies ou mélancoliques (Brahms, Strauss, Liszt), mais aussi l\'harmonie même de l\'orchestre, cette entente exceptionnelle, cet accord vibrant qui unit tous les interprètes. Tous virtuoses, ils jouent sans partition et nous éblouissent de cet art de la virevolte, de la variation qui ne trahit en rien la composition mais l’enrichit. Ils transmettent au spectateur l’énergie d’un peuple qui a choisi la musique comme langue universelle.
Instinctif comme une veillée populaire tzigane, rigoureux comme un concert viennois, en smoking noir ou en costume traditionnel, l’Orchestre des 100 Violons Tziganes est superbe à regarder et magique à écouter.
"Un tourbillon fantastique… un ensemble éblouissant… Violons sans frontières… Cent violons sans partition… Cent violons de charme…" LES DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE