La parole à l'organisateur
L\'Evénement sur Grand Ecran !
EN DIRECT DU METROPOLITAN OPERA DE NEW YORK
DIE WALKÜRE
Drame musical en trois actes
Paroles et musique de Richard WAGNER
Direction musicale : James LEVINE
Mise en scène : Robert LEPAGE
Décors : Carl FILLION
Costumes : François SAINT-AUBIN
Eva-Maria WESTBROEK (Sieglinde)
Deborah VOIGT (Brünnhilde)
Stephanie BLYTHE (Fricka)
Jonas KAUFMANN (Siegmund)
Hans-Peter KONIG (Hunding)
Bryn TERFEL (Wotan)
En direct et en haute définition depuis le Metropolitan Opera de New York… L’entrepôt du Haillan et la société CielEcran vous proposent d’assister à "La Walkyrie" avec dans les rôles principaux quelques-unes des plus grandes voix actuelles.
Inspirée de la mythologie germanique et nordique, "La Walkyrie" est le second volet de quatre opéras formant un seul ouvrage grandiose composé en près de 25 ans, "L’Anneau des Nibelungs", communément appelé le "Ring" : une gigantesque allégorie philosophique sur la société, la politique, l\'économie, la psychologie et le pouvoir.
Créée en 1870 au Théâtre Royal de Munich, "La Walkyrie" s’interroge sur les conditions d’un renouveau, sur la possibilité même d’entrevoir un monde meilleur. Dieux fatigués de leurs responsabilités, héros manipulés mais peut-être plus libres que leurs propres créateurs, le monde qui se dessine ici est bien celui de la fin d’une ère. Seul l’amour semble pouvoir triompher, celui de Sieglinde et de Siegmund, celui de Wotan pour sa fille bien-aimée Brünnhilde… Mais là encore, trop de contraintes planent toujours ; Wagner le révolutionnaire, l’homme des barricades de Dresde, ne pouvait que vouloir remettre en question les règles absurdes d’une société castratrice.
Inspirée de la mythologie germanique et nordique, "La Walkyrie" est le second volet de quatre opéras formant un seul ouvrage grandiose composé en près de 25 ans, "L’Anneau des Nibelungs", communément appelé le "Ring" : une gigantesque allégorie philosophique sur la société, la politique, l\'économie, la psychologie et le pouvoir.
Créée en 1870 au Théâtre Royal de Munich, "La Walkyrie" s’interroge sur les conditions d’un renouveau, sur la possibilité même d’entrevoir un monde meilleur. Dieux fatigués de leurs responsabilités, héros manipulés mais peut-être plus libres que leurs propres créateurs, le monde qui se dessine ici est bien celui de la fin d’une ère. Seul l’amour semble pouvoir triompher, celui de Sieglinde et de Siegmund, celui de Wotan pour sa fille bien-aimée Brünnhilde… Mais là encore, trop de contraintes planent toujours ; Wagner le révolutionnaire, l’homme des barricades de Dresde, ne pouvait que vouloir remettre en question les règles absurdes d’une société castratrice.