Direction musicale : Nayden TODOROV. SOLISTES, CHŒURS ET ORCHESTRE DE L’OPERA VERDI DE ROUSSE. . La fascination bulgare pour l’opéra italien a toujours été illustrée à..." /> Direction musicale : Nayden TODOROV. SOLISTES, CHŒURS ET ORCHESTRE DE L’OPERA VERDI DE ROUSSE. . La fascination bulgare pour l’opéra italien a toujours été illustrée à..."/> Direction musicale : Nayden TODOROV. SOLISTES, CHŒURS ET ORCHESTRE DE L’OPERA VERDI DE ROUSSE. . La fascination bulgare pour l’opéra italien a toujours été illustrée à..." /> Direction musicale : Nayden TODOROV. SOLISTES, CHŒURS ET ORCHESTRE DE L’OPERA VERDI DE ROUSSE. . La fascination bulgare pour l’opéra italien a toujours été illustrée à..." /> Direction musicale : Nayden TODOROV. SOLISTES, CHŒURS ET ORCHESTRE DE L’OPERA VERDI DE ROUSSE. . La fascination bulgare pour l’opéra italien a toujours été illustrée à..." />

Verdi / Messa de Requiem

vendredi 20 janvier 2012 - 20h30
+ d’événements ce jour-là
32€ / 39€

La parole à l'organisateur

Direction musicale : Nayden TODOROV



SOLISTES, CHŒURS ET ORCHESTRE DE L’OPERA VERDI DE ROUSSE



La fascination bulgare pour l’opéra italien a toujours été illustrée à travers le monde par des artistes tels que, Nicolaï Ghiaurov, Raina Kabaivanska ou encore Nicolaï Ghiuselev, qui ont su s'imposer sur les plus grandes scènes internationales en interprétant avec brio les grands opéras de Verdi et de Puccini. Après avoir proposé "Aïda" aux spectateurs du Pin Galant, l’Opéra Verdi de Rousse, fondé afin d'exporter les pièces maîtresses du répertoire italien, s'attaque à un monument musical : le "Requiem" de Verdi, composé pour quatre solistes, chœur et orchestre en 1874 à la mémoire de Gioachino Rossini.

Comme pour ses opéras, Verdi y présente des contrastes stupéfiants destinés à émouvoir le public : des premières mesures pianissimo de "L'Introït", lugubres et effrayantes, au célèbre "Dies irae" représentant la catastrophe de la fin du monde, en passant par le "Tuba Mirum" annoncé de façon inquiétante par des trompettes cachées aux yeux du public et se déclenchant dans un immense fortissimo de cuivres et de percussions, ou encore le "Sanctus" bref et très gai, contrastant avec le reste de l'œuvre.